Guinée, 28 avril (IBC) – Jamais dans l’histoire politique de la Guinée, un dirigeant n’aura bénéficié d’un tel élan d’adhésion populaire, d’un amour aussi sincère, d’un soutien aussi massif et spontané que celui que reçoit aujourd’hui le Général Mamadi Doumbouya.

Des rues vibrantes de Conakry aux hameaux reculés de la Guinée profonde, des marchés de Madina aux docks du port autonome, dans les écoles, les mosquées et les champs, un même cri du coeur s’élève : « le Général Doumbouya est notre choix ! »
Depuis ce 5 septembre 2021, jour historique de la prise de responsabilité par le CNRD, le Général Doumbouya n’a cessé de déjouer les pronostics. Bien loin de l’image caricaturale du militaire autoritaire, il s’impose aujourd’hui comme un homme d’État visionnaire, proche du peuple, déterminé à transformer la Guinée et à inscrire son action dans la justice sociale.
Alors que certains prêtent à son ascension des influences mystiques – évoquant même des marabouts d’une puissance exceptionnelle – , les guinéens eux, savent : le véritable ‘’marabout’’ du Général, ce sont ses réalisations concrètes, visibles et palpables. Son efficacité, son patriotisme et sa volonté farouche de bâtir une Guinée nouvelle relèvent d’un leadership assumé, et non d’une quelconque magie.
Une révolution silencieuse mais profonde
Partout sur le territoire, les chantiers fleurissent. Jamais les routes n’avaient été aussi nombreuses à être bitumées, réhabilitées, projetées. Les communautés longtemps enclavées sont désormais reliées, les échanges dynamisés, les espoirs ressuscités.
Le programme Simandou 2040 incarne cette ambition audacieuse : donner enfin à la Guinée les infrastructures nécessaires pour tirer parti de ses immenses ressources minières.
Dans l’éducation, de nouvelles écoles émergent, les conditions d’apprentissage s’améliorent, les enseignants retrouvent considération et dignité. Le soutien massif du corps enseignant au Général témoigne d’un espoir fondé : celui de voir la jeunesse guinéenne protégée et valorisée.
Dans l’agriculture, les investissement redonnent vie aux campagnes : machines modernes, intrants de qualité, financements accrus. La Guinée retrouve peu à peu son ambition naturelle de grenier de l’Afrique de l’Ouest.
Côté justice, la création de la CRIEF (Cour de Répression des Infractions Économiques et Financières) marque une rupture historique. En luttant contre l’impunité, le pouvoir restaure la confiance d’un peuple longtemps trahi par ses élites.
L’armée, quant à elle, est réformée, modernisée, professionnalisée. De force de répression, elle est devenue garante de la stabilité nationale, retrouvant sa vocation républicaine sous l’impulsion d’un des siens.
Dans les domaines de la santé, de l’accès à l’eau, de l’électricité ou de l’environnement, un frémissement indédit est perceptible. Aucune préfecture, aucune région n’est oubliée. L’équité territoriale n’est plus un slogan, mais une réalité en construction.

Un soutien populaire d’une ampleur inédite
Le phénomène est exceptionnel : partout, un soutien spontané et massif, transcendant toutes les catégories sociales et régionales.
Dockers, enseignants, commerçants, paysans, jeunes diplômés, anciens combattants, religieux, artistes, sportifs : tous parlent d’une seule voix – celle de la continuité.
Selon plusieurs enquêtes de terrain, plus de 90 % des guinéens souhaitent voir le Général Mamadi Doumbouya se porter candidat à la prochaine élection présidentielle. Pourtant, fidèle à son humilité, il n’a jamais explicitement exprimé cette ambition. Ce silence, loin d’affaiblir son image, lui confère une stature unique, celle d’un homme appelé par son peuple plutôt que de courir après le pouvoir.
L’appel pressant d’un peuple
La question désormais se pose : jusqu’à quand pourra-t-il rester silencieux ?
Le peuple gronde d’impatience, son appel devient exigence. Pour beaucoup, il serait de son devoir historique de poursuivre la transformation en cours, de consolider les acquis, de conduire la Guinée vers un avenir de prospérité partagée et de fierté nationale retrouvée.
La Guinée, pays d’immenses richesses mais de promesses longtemps trahies, entrevoit enfin, à travers Mamadi Doumbouya, l’espoir d’une renaissance durable.
Dans l’esprit de la majorité silencieuse comme dans celui de la jeunesse avide de changement, un seul homme incarne désormais l’avenir : le Général Mamadi Doumbouya.
Par Oumar Thiam, Juriste, Analyste politique, Secrétaire Général UFDG Version Ousmane Gaoual